Les soucis du temps

Un bruit étrange résonné sur la grande plage de Marseille ,un bruit don tout les gens qui se baignaient chercher l'origine au même moment une vielle voiture cabriolet était apparu dans un coin de la plage invisible à l’œil nu .

à l'intérieur ce trouvais un time lord un être d'une intelligence immense ,qui fut obliger de fuir une terrible guerre malgré sa survis il fut obligé de procéder à une régénération ,un acte qui permet à un time lord d'échapper à la mort cependant cela change complètement son physique et en partie de sa personnalité .
à peine régénéré il se regarda dans un des miroir son Tardis qui à l'intérieur de cette cabriolet était en fait un ensemble d'immenses pièces don l'entré était une console de contrôle qui lui permet de manipulé l'espace-temps .

*Tien j'ai bien pris une taille au moin,j'ai aussi quelque ride et des cheveux blancs ...mué c'est pas mal comme première régénération ...*

Bon je vais pas garder mes vieux vêtement en lambeau un costume humain me conviendrait mieux .
Il taponna quelque bouton sur la console et un costume ce matérialisa sur une plaque doré elle même fessant partie de la console ,il s'habilla promptement puis soudains une alarme ce déclenchât ,le visage inquiet il regarda l'écrant devant lui et avec plus d'effroi dans le regard il se mis à actionner son Tardis il semblerait qu'il doit quitter la plage française pour un autre endroit .

Le Tardis ce matérialisa cette fois sans aucun bruit pour ne pas attiré l’attention à nouveau .

J'espère que ce n'est pas ma venue sur terre qui provoque cette faille ...

En effet la chose qui avait provoqué l'alarme c'était une faille du temps tout juste formé après son arrivée .

En sortent devant lui une jeune femme toucher du bout des doigts une grande fissure sur un large mur blanc ......

L'arrière du bâtiment de réserve de la bibliothèque était toujours désert, bien que donnant sur le parc. Celly aimait cet endroit peu fréquenté, idéal pour faire une pause. Surtout après plusieurs heures passées auprès de livres aussi épais qu'intéressants. Le parc jouxtant la bibliothèque grouillait de monde, principalement des étudiants comme elle. Le soleil brillait et c'était encore une belle après-midi qui se déroulait.
Elle venait de sortir du bâtiment principal, la bibliothèque proprement dite, un gobelet de café à la main.
Descendant les larges escaliers de pierre, Celly se dirigeât vers l'arrière de la réserve, petit monument annexe lui aussi en pierres blanches. Longeant le mur, elle jeta sa veste noire dans l'herbe dans l'intention de s'y assoir. Cette dernière contenait les choses que la jeune femme ne voulait pas laisser sans surveillance dans la salle de lecture : ses clefs, son porte monnaie et son téléphone portable. S’apprêtant à s'assoir, elle remarquât quelque chose d'étrange sur le mur.

Tient, qu'est-ce que c'est que ça?

N'ayant remarqué personne dans les parages elle se permit cette réflexion à haute voix. Toutefois, de nombreux arbres fournissaient de l'ombre à ce coin de verdure et cachaient quelque peu l'endroit aux autres regards. Ainsi, n'importe qui pouvait se tapir derrière l'un d'eux et observer la scène.

Une grande fissure légèrement miroitante lézardait le mur sur presque toute sa largeur.

*Hier il n'y avait rien à cet endroit, j'en suis quasiment sûre.*

Poussée par sa curiosité naturelle, elle avança la main et frôlât du bout des doigts cette étrange ouverture. Une douce chaleur semblait en émaner.

Un étrange et bizarrement désagréable frisson parcouru l'étudiante de la tête aux pieds.

Qu'est-ce que... Sa main était toujours sur le mur...